Un baiser

Quand tu poses un baiser, de tes lèvres gourmandes,

Sur les miennes mourant d'un douloureux  désir,

C'est le maître du temps qui cesse de mentir

Et me  donne au présent le souffle des légendes.



Et mon front un instant de roses s'enguirlande,

Quand, vestale d'amour, je me sens devenir,

Prémices merveilleux à l'opulent plaisir

De m'y m'abandonner, en amoureuse offrande.



Sous le voile de chair fuse en traits de couleur

La vague impétueuse au remous salvateur

Qui me mène au foyer d'un ardent paysage.



Ni les ans ni l'espace ne peuvent effacer

Ce baiser insensé que toi seul m'a donné

Me laissant à jamais au coeur un tatouage.

Ni les ans ni l'espace ne peuvent effacer
13 syllabes

Bonne année, Lilas.

Merci Jérôme   
Mes meilleurs voeux  
Que cette année t'apporte tout ce que tu souhaites.
Je t'embrasse.
Lilas

Quand tu poses un baiser, de tes lèvres gourmandes,

Sur les miennes mourant d'un douloureux désir,

C'est le maître du temps qui cesse de mentir

Et me donne au présent le souffle des légendes.



Et mon front un instant de roses s'enguirlande,

Quand, vestale d'amour, je me sens devenir,

Prémices merveilleux à l'opulent plaisir

De m'y m'abandonner, en amoureuse offrande.



Sous le voile de chair fuse en traits de couleur

La vague impétueuse au remous salvateur

Qui me mène au foyer d'un ardent paysage.



La distance ou le temps ne peuvent effacer

Ce baiser insensé que toi seul m'a donné

Me laissant à jamais au cœur un tatouage.

Et me donne au présent le souffle des légendes.



Et mon front un instant de roses s'enguirlande,

Deux fois "et", cela est gênant.

donner au présent me semble assez maladroit.

de m'y m'abandonner, en amoureuse offrande.

S'abandonner à qui ou à quoi ?

Quand tu poses un baiser, de tes lèvres gourmandes,

Sur les miennes mourant d'un douloureux désir,

C'est le maître du temps qui cesse de mentir

Il me donne en présent le souffle des légendes.



Et mon front un instant de roses s'enguirlande,

Quand, vestale d'amour, je me sens devenir,

Prémices merveilleux à l'opulent plaisir

De succomber enfin à l'amoureuse offrande.



Sous le voile de chair fuse en traits de couleur

La vague impétueuse au remous salvateur

Qui me mène au foyer d'un ardent paysage.



La distance ou le temps ne peuvent effacer

Ce baiser insensé que toi seul m'a donné

Me laissant à jamais au cœur un tatouage

La distance ou le temps ne peuvent effacer
C'est l'un ou l'autre, donc on ne peut accorder pouvoir au pluriel. Mieux vaudrait écrire :" La distance et le temps ne peuvent effacer

Merci Jérôme...Je suis si ignorante^^...
Je corrige...

Quand tu poses un baiser, de tes lèvres gourmandes,

Sur les miennes mourant d'un douloureux désir,

C'est le maître du temps qui cesse de mentir

Il me donne en présent le souffle des légendes.



Et mon front un instant de roses s'enguirlande,

Quand, vestale d'amour, je me sens devenir,

Prémices merveilleux à l'opulent plaisir

De succomber enfin à l'amoureuse offrande.



Sous le voile de chair fuse en traits de couleur

La vague impétueuse au remous salvateur

Qui me mène au foyer d'un ardent paysage.



La distance et le temps ne peuvent effacer

Ce baiser insensé que toi seul m'a donné

Me laissant à jamais au cœur un tatouage