Ton baiser

Ton baiser est un fruit dont je me désaltère
Et sa chair parfumée à saveur de pêcher,
Éveille plus ma faim qu'un banquet épicé
Riche des festivités aux saisons de la terre.

A tes lèvres je prends l'eau vive et la lumière
Car une étoile, un jour, dans un geste flûté,
A versé sur ton front de son intensité,
Et, dans tes yeux rieurs, j'en vois l'échos sincère.

J'y trouve le soleil qui fait mûrir les grains,
Un éblouissement vivant tous les matins,
Comme un coquelicot fragile sur la toile.

Dans un vertige ailé, j'en ressens la passion,
Une ondée rugissante, une vibration,
Et l'univers palpite dans son immense voile.

Riche des festivités aux saisons de la terre.
13 syllabes

Et, dans tes yeux rieurs, j'en vois l'échos sincère.
Echo ne doit pas être au pluriel

Une ondée rugissante, une vibration,
Ondée devrait être élidé.

Et l'univers palpite dans son immense voile.
13 syllabes

Ton baiser est un fruit dont je me désaltère
Et sa chair parfumée à saveur de pêcher,
Éveille plus ma faim qu'un banquet épicé,
Riche festivité aux saisons de la terre.

A tes lèvres je prends l'eau vive et la lumière
Car une étoile, un jour, dans un geste flûté,
A versé sur ton front de son intensité
Et, dans tes yeux rieurs, j'en vois l'écho sincère.

J'y trouve le soleil qui fait mûrir les grains,
Un éblouissement vivant tous les matins,
Comme un coquelicot fragile sur la toile.

Dans un vertige ailé, j'en ressens la passion,
Une ondée écumante, une vibration,
L'univers palpite dans son immense voile.

Riche festivité aux saisons de la terre.
é-aux constitue un hiatus car l'e' est accentué.

L'univers palpite dans son immense voile.

palpite tombe à la césure, ce qui n'est pas autorisé.

Ton baiser est un fruit dont je me désaltère
Et sa chair parfumée à saveur de pêcher,
Éveille plus ma faim qu'un banquet épicé,
Riches festivités aux saisons de la terre.

A tes lèvres je prends l'eau vive et la lumière
Car une étoile, un jour, dans un geste flûté,
A versé sur ton front de son intensité
Et, dans tes yeux rieurs, j'en vois l'écho sincère.

J'y trouve le soleil qui fait mûrir les grains,
Un éblouissement vivant tous les matins,
Comme un coquelicot fragile sur la toile.

Dans un vertige ailé, j'en ressens la passion,
Une ondée écumante, une vibration,
Dont l'univers frémit dans son immense voile.

Sauf erreur de ma part ce texte peut monter en éruption.

Merci Jérôme.
Belle et douce journée, avec le soleil.
Je t'embrasse.
Lilas

"ondée écumante" convient-il?
Je m'interroge...
Bel après-midi
Je t'embrasse.
Lilas

C'est autorisé , même si la sonorité é-é est gênante.