MON VILLAGE
J’ai emprunté les chemins qui bordent mon village,
Un silence insolite…les oiseaux sont partis
Le ciel jouait avec le gris des nuages,
Les prés sont verdoyants au passage de la pluie.
Pas un bruit, le frémissement d’une feuille qui tombe
Dévoile la vie qui meurt et prépare le printemps…
Loin de tout, un village qui n’a pas vu de bombes
Et qui se joue des lois de Dieu et de Satan !
Natacha Péneau