Dans la Selva inextricable
Aux végétales logorrhées,
Vivait un piqueux fort aimable
Et sur le point de forlancer.
Un quartanier, passant par-là
Et voyant la meute halener,
Courut plus vite que briska
Prenant grand soin à mutité.
Mais le piqueux bien avisé
Entreprit de vaticiner
Et ânonna d’un ton verveux
Patrologie vers les grands cieux.
Ainsi, le pauvre quartanier
Que l’on destinait à poussier
Trouva refuge en un gabion
Craignant les foudres du péon.
Alors, contemplant les puffins
Et les cigognes s'essorer
Il entendit le bien-allé
Puis déclina dans le serein.
Jérôme