Gagner ! Alors que volent partout
Baudruches folles et parées d’or,
Sous un ciel jamais las de voir ces fous
Danser dans les airs bénis du sort,.
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Juste tenter d’en crever les coeurs
De nos flèches rapiécées, tordues .
Voici la vie des archers railleurs,
Voyez venir leurs mères chenues.
Curant des pots de fer, des gamelles,
Dans l’eau sale et trouble des malades.
Rebouchant de leurs mains éternelles
La profonde tombe des aubades .
Jérôme