Doutes

Seras-tu le bourreau des désillusions
Qui, m'assaillant sans cesse, épuisent sans relâche
Les beaux jours de la vie à grand coup de rondache
Laissant sur le carreau toutes sensations?

J'essaie, en retrouvant ma respiration,
De ne pas me noyer dans l'eau amère et lâche
Du doute ensanglanté, cette funeste tâche
Que me lance le sort, mauvaise intention

Me tendras-tu la main, l'aile bienveillante
Qui manque à mon vertige, arrêtant la lente
Et dérisoire valse amenant à ma mort?

Dans le nuage sombre occultant la lumière
Le silence me sert d'unique et noir repère
Sur le chemin perdu dans des souffles trop forts

Dans tout ce texte tu mélanges rimes pluriel et singulier, il faut te remettre à l'ouvrage.

Seras-tu le bourreau des désillusions
Qui, m'assaillant sans cesse, épuisent sans relâche
Les beaux jours de la vie à grand coup de rondache
Laissant sur le carreau toutes sensations?

J'essaie, en retrouvant mes respirations,
De ne pas me noyer dans l'eau amère et lâche
Du doute ensanglanté, cette funeste tâche
Que me lance le sort, piètres intentions

Me tendras-tu la main, l'aile bienveillante
Qui manque à mon vertige, arrêtant la lente
Et dérisoire valse amenant à ma mort?

Dans le nuage sombre occultant la lumière
Le silence me sert d'unique et noir repère
Sur le chemin perdu dans un souffle trop fort.

Me tendras-tu la main, l'aile bienveillante
Qui manque à mon vertige, arrêtant la lente

Je compte 11 syllabes dans chacun de ces vers

Seras-tu le bourreau des désillusions
Qui, m'assaillant sans cesse, épuisent sans relâche
Les beaux jours de la vie à grand coup de rondache
Laissant sur le carreau toutes sensations?

J'essaie, en retrouvant mes respirations,
De ne pas me noyer dans l'eau amère et lâche
Du doute ensanglanté, cette funeste tâche
Que me lance le sort, piètres intentions

Me tendras-tu la main, toi, l'aile bienveillante
Qui manque à mon vertige, en arrêtant la lente
Et dérisoire valse amenant à ma mort?

Dans le nuage sombre occultant la lumière
Le silence me sert d'unique et noir repère
Sur ce chemin perdu dans un souffle trop fort.

Laissant sur le carreau toutes sensations?

Je ne suis pas certain que cette formule soit correcte au pluriel.

Et dérisoire valse amenant à ma mort?

Trop de 'a'

Seras-tu le bourreau des désillusions
Qui, m'assaillant sans cesse, épuisent sans relâche
Les beaux jours de la vie à grand coup de rondache
Laissant sur le carreau mes sensations?

J'essaie, en retrouvant mes respirations,
De ne pas me noyer dans l'eau amère et lâche
Du doute ensanglanté, cette funeste tâche
Que me lance le sort, piètres intentions

Me tendras-tu la main, toi, l'aile bienveillante
Qui manque à mon vertige, en arrêtant la lente
Et inutile danse accomplissant ma mort?

Dans le nuage sombre occultant la lumière
Le silence me sert d'unique et noir repère
Sur ce chemin perdu dans un souffle trop fort

Laissant sur le carreau mes sensations?

11 syllabes

Seras-tu le bourreau des désillusions
Qui, m'assaillant sans cesse, épuisent sans relâche
Les beaux jours de la vie à grand coup de rondache
Laissant sur le carreau mon cœur triste en haillons?

J'essaie, en retrouvant mes respirations,
De ne pas me noyer dans l'eau amère et lâche
Du doute ensanglanté, cette funeste tâche
Que me lance le sort, piètres intentions

Me tendras-tu la main, toi, l'aile bienveillante
Qui manque à mon vertige, en arrêtant la lente
Et inutile danse accomplissant ma mort?

Dans le nuage sombre occultant la lumière
Le silence me sert d'unique et noir repère
Sur ce chemin perdu dans un souffle trop fort

Ouf ! Dis-moi , ce fut laborieux.

 Bonjour Jérôme!
Tu as raison, très laborieux...