Qu'ais-je fait...

Qu'ais-je fait dites-moi, pour être ainsi punie?

Je vivais sans soucis,vibrante libellule,

Profitant de mes jours comme le funambule,

Toujours en équilibre, accrochée à la  vie.



Je comblais mes désirs et cédais à l'envie,

Goûtais tous les plaisirs, dansant sur une bulle

Au gré d'un vent fluet, les yeux sur le pendule

D'un talisman perdu dans la fumée bleuie



J'ai bouilli de colère et, condamnant le sort,

Crié aux quatre vents que la mort avait tort

De choisir pour victime une proie si menue



Ma voix va se tarir et bientôt  le trépas...

Quoique j'ai accompli , la douleur est bien là.

Elle creuse ses sillons dans ma chair corrompue.

D'un talisman perdu dans la fumée bleuie
Fumée devrait être élidé

De choisir pour victime une proie si menue
Proie devrait être élidé

Elle creuse ses sillons dans ma chair corrompue.
13 syllabes

Qu'ais-je fait dites-moi, pour être ainsi punie?
Qu'ai-je fait

Qu'ai-je fait dites-moi, pour être ainsi punie?

Je vivais sans soucis, vibrante libellule,

Profitant de mes jours comme le funambule,

Toujours en équilibre, accrochée à la  vie.



Je comblais mes désirs et cédais à l'envie,

Goûtais tous les plaisirs, dansant sur une bulle

Au gré d'un vent muet, les yeux sur le pendule

D'un talisman perdu dans la fumée enfuie



J'ai bouilli de colère et, condamnant le sort,

Crié aux quatre vents que la mort avait tort

De choisir pour victime une fleur si  menue



Ma voix va se tarir et bientôt  le trépas...

Quoique j'ai accompli , la douleur est bien là.

Elle have ses sillons dans ma chair corrompue.

Sous réserve que "have" accepte la liaison ce texte peut monter au septième ciel.

Bonjour Jérôme,
J'attends ton verdict...
Belle journée,
Je t'embrasse
Lilas

H n'est pas muet , l'élision n'est donc pas possible.

Diantre! Je m'y remets!   
Merci Jérôme   
Je t'embrasse
Lilas

Qu'ai-je fait dites-moi, pour être ainsi punie?

Je vivais sans soucis, vibrante libellule,

Profitant de mes jours comme le funambule,

Toujours en équilibre, accrochée à la  vie.



Je comblais mes désirs et cédais à l'envie,

Goûtais tous les plaisirs, dansant sur une bulle

Au gré d'un vent muet, les yeux sur le pendule

D'un talisman perdu dans la fumée enfuie



J'ai bouilli de colère et, condamnant le sort,

Crié aux quatre vents que la mort avait tort

De choisir pour victime une fleur si  menue



Ma voix va se tarir et bientôt  le trépas...

Quoique j'ai accompli , la douleur est bien là

Et grave ses sillons dans ma chair corrompue.

Oui, c'est bon, à présent.