Prince, mon prince

Un rayon de soleil effleure son beau front

Où l'âge n'écrit pas encor' sa litanie

De larmes et de sang, de rêves qu'on oublie

Tout au fond d'un tiroir, celui de la raison



Dans ses yeux andalous, au réveil,  l'abandon

En fait un prince maure et me laisse attendrie.

Suspendue à sa bouche, une tendre alchimie

Soumet son doux visage à ma dévotion.



Oh douleur qui m'abîme  avec tant de science!

Cet éphémère instant brûle ma sapience

Et réduit tout en cendre, ardent feu de l'amour



Que ne suis-je au printemps crie ma tête rebelle

Quand mon corps me susurre  un caressant libelle

Contrepoint  d'un monde où mon cri reste sourd

Que ne suis-je au printemps crie ma tête rebelle

Crie devrait être élidé

Contrepoint d'un monde où mon cri reste sourd

11 syllabes

Un rayon de soleil effleure son beau front

Où l'âge n'écrit pas encor' sa litanie

De larmes et de sang, de rêves qu'on oublie

Tout au fond d'un tiroir, celui de la raison



Dans ses yeux andalous, au réveil, l'abandon

En fait un prince maure et me laisse attendrie.

Suspendue à sa bouche, une tendre alchimie

Soumet son doux visage à ma dévotion.



Oh douleur qui m'abîme avec tant de science!

Cet éphémère instant brûle ma sapience

Et réduit tout en cendre, ardent feu de l'amour



Que ne suis-je au printemps geint ma tête rebelle

Quand mon corps me susurre un caressant libelle

Contrepoint d'un monde où mon appel reste sourd

Oh douleur qui m'abîme avec tant de science!
Il faut écrire Ô et non oh

Contrepoint d'un monde où- mon appel reste sourd
il y a enjambement de la césure

Un rayon de soleil effleure son beau front

Où l'âge n'écrit pas encor' sa litanie

De larmes et de sang, de rêves qu'on oublie

Tout au fond d'un tiroir, celui de la raison.



Dans ses yeux andalous, au réveil, l'abandon

En fait un prince maure et me laisse attendrie.

Suspendue à sa bouche, une tendre alchimie

Soumet son doux visage à ma dévotion.



Ô douleur qui m'abîme avec tant de science!

Cet éphémère instant brûle ma sapience

Et réduit tout en cendre, ardent feu de l'amour



Que ne suis-je au printemps geint ma tête rebelle

Quand mon corps me susurre un caressant libelle,

Contrepoint à ce monde où mon corps se fait lourd

Oui, je crois que cette fois est la bonne, bravo.:-)

youppie!  
Je t'embrasse Jérôme :-)
Belle journée
Lilas