Impressions d'été

L'été rieur éveille un grillon sans façon
Par un vent de chaleur mêlé de ritournelle.
La torpeur de midi submerge la venelle
D'une tendre douceur aux tons vert céladon.

Dans la rue éclatant d'un charnel abandon
Des taches de lumière dansent la tarentelle.
Derrière les volets, des voiles de dentelle
S'agitent doucement sur des sommeils de plomb.

Loin du ciel orageux qui, rocailleux, menace
De pleurer une larme au parfum trop tenace,
Un chat flemmard s'étire à l'ombre du clocher.

Et là, dans cette chambre où les mouvantes ombres
Dessinent sur ta peau des arabesques sombres,
La rue enclot sur nous son bel habit d'été.

La rue enclot sur nous son bel habit d'été.
On enclot quelque chose , la formule utilisée me semble incorrecte.

L'été rieur éveille un grillon sans façon
Par un vent de chaleur mêlé de ritournelle.
La torpeur de midi submerge la venelle
D'une tendre douceur aux tons vert céladon.

Dans la rue éclatant d'un charnel abandon
Des taches de lumière dansent la tarentelle.
Derrière les volets, des voiles de dentelle
S'agitent doucement sur des sommeils de plomb.

Loin du ciel orageux qui, rocailleux, menace
De pleurer une larme au parfum trop tenace,
Un chat flemmard s'étire à l'ombre du clocher.

Et là, dans cette chambre où les mouvantes ombres
Dessinent sur ta peau des arabesques sombres,
La rue revêt pour nous son bel habit d'été.

La rue revêt pour nous son bel habit d'été.

Rue devrait être élidé.

Derrière les volets, des voiles de dentelle

" Les voiles en" seraient plus approprié , du fait du grand nombre de "d".

L'été rieur éveille un grillon sans façon
Par un vent de chaleur mêlé de ritournelle.
La torpeur de midi submerge la venelle
D'une tendre douceur aux tons vert céladon.

Dans la rue éclatant d'un charnel abandon
Des taches de lumière dansent la tarentelle.
Derrière les volets, les voiles en dentelle
S'agitent doucement sur des sommeils de plomb.

Loin du ciel orageux qui, rocailleux, menace
De pleurer une larme au parfum trop tenace,
Un chat flemmard s'étire à l'ombre du clocher.

Et là, dans cette chambre où les mouvantes ombres
Dessinent sur ta peau des arabesques sombres,
La rue étend sur nous son bel habit d'été.

Des taches de lumière dansent la tarentelle.
13 syllabes

L'été rieur éveille un grillon sans façon
Par un vent de chaleur mêlé de ritournelle.
La torpeur de midi submerge la venelle
D'une tendre douceur aux tons vert céladon.

Dans la rue éclatant d'un charnel abandon
Des taches de soleil dansent la tarentelle.
Derrière les volets, les voiles en dentelle
S'agitent doucement sur des sommeils de plomb.

Loin du ciel orageux qui, rocailleux, menace
De pleurer une larme au parfum trop tenace,
Un chat flemmard s'étire à l'ombre du clocher.

Et là, dans cette chambre où les mouvantes ombres
Dessinent sur ta peau des arabesques sombres,
La rue étend sur nous son bel habit d'été.

S'agitent doucement sur des sommeils de plomb.
J'aurais plutôt mis "sur les sommeils de plomb, pour rendre l'idée plus intime. Cela permet aussi d'éviter le doublement du 'd'.

L'été rieur éveille un grillon sans façon
Par un vent de chaleur mêlé de ritournelle.
La torpeur de midi submerge la venelle
D'une tendre douceur aux tons vert céladon.

Dans la rue éclatant d'un charnel abandon
Des taches de soleil dansent la tarentelle.
Derrière les volets, les voiles en dentelle
S'agitent doucement sur les sommeils de plomb.

Loin du ciel orageux qui, rocailleux, menace
De pleurer une larme au parfum trop tenace,
Un chat flemmard s'étire à l'ombre du clocher.

Et là, dans cette chambre où les mouvantes ombres
Dessinent sur ta peau des arabesques sombres,
La rue étend sur nous son bel habit d'été.

Bonjour Jérôme  Et merci
Je te souhaite une délicieuse journée.
Je t'embrasse.
Lilas  

Oui, tu peux monter ce texte. Bon week-end, Lilas.:-)

Bon week-end Jérôme  
Je t'embrasse.
Lilas