Un ange

Un ange et son reflet épellent le bonheur
Sous la feuille velue, arrachée à la viorne,
Protégés de la pluie attristée et si morne,
Au côté d'une rose et son bouton rêveur.

C'est au son de sa lyre, à la céleste odeur,
Qui ,comme un violoncelle, enchante une licorne,
Que le doux séraphin éveille la litorne
Sous l’œil émerveillé d'un matinal flâneur.

Et puis à pas de loup, aussi fins qu'une plume,
Il effleure d'un rire le soleil qu'il parfume
Pour en faire, amoureux, un fabuleux dessin.

De son aile bleutée, il gagne la futaie
Qu'un vent capricieux du bout des cils balaie
Et s'endort, souriant, en rêvant à demain.

Il effleure d'un rire le soleil qu'il parfume

13 syllabes

Un ange et son reflet épellent le bonheur
Sous la feuille velue, arrachée à la viorne,
Protégés de la pluie attristée et si morne,
Au côté d'une rose et son bouton rêveur.

C'est au son de sa lyre, à la céleste odeur,
Qui ,comme un violoncelle, enchante une licorne,
Que le doux séraphin éveille la litorne
Sous l’œil émerveillé d'un matinal flâneur.

Et puis à pas de loup, aussi fins qu'une plume,
Il effleure de rire un soleil qu'il parfume
Pour en faire, amoureux, un fabuleux dessin.

De son aile bleutée, il gagne la futaie
Qu'un vent capricieux du bout des cils balaie
Et s'endort, souriant, en rêvant à demain.

Dans la forme ce texte me parait correct. Néanmoins, je le trouve un peu trop alambiqué et assez difficile à lire.

Bonsoir Jérôme  
Qu'est-ce qui est difficile à lire?
Alambiqué?
Explique-moi, s'il-te-plaît, que je me corrige.
Belle et douce soirée.
Je t'embrasse.
Lilas.

Un ange et son reflet épellent le bonheur
Sous la feuille velue, arrachée à la viorne.
Il accueille la pluie, attristée et si morne,
Au côté d'une rose et son bouton rêveur.

C'est au son de sa lyre, à la céleste lueur,
Qu'il ravit d'une note une blanche licorne.
Et le doux séraphin éveille la litorne
Sous l’œil émerveillé d'un étrange flâneur.

Et puis à pas de loup, aussi fins qu'une plume,
Il effleure d'un rire un soleil qu'il parfume
Malicieux pour faire, un fabuleux dessin.

De son aile bleutée, il gagne la futaie
Qu'un vent capricieux, du bout des cils, effraie.
Il s'endort en rêvant et sourit à demain.

Est-ce qu'il te convient mieux ainsi?

Un ange et son reflet épellent le bonheur

Toutes ces sonorités semblables rendent ce vers trop lourd

C'est au son de sa lyre, à la céleste lueur,

13 syllabes

Il accueille la pluie, attristée et si morne,

La pluie attristée est une image incorrecte car si l'eau est associée aux larmes , des larmes ne sont pas tristes.

De son aile bleutée, il gagne la futaie
Qu'un vent capricieux, du bout des cils, effraie.

Ici encore l'image d'une futaie effrayée ne parvient à me convaincre.

Bonjour Jérôme et merci  
Je vais y retravailler et changer tout ce que je peux.
Belle journée ensoleillée.
Je t'embrasse.
Lilas

Un ange gracieux réfléchit au bonheur
Sous la feuille velue, arrachée à la viorne.
Il accueille la pluie, qu'un nuage bleu borne,
Au côté d'une rose et son bouton rêveur.

C'est au son de sa lyre, à l'exquise douceur,
Qu'il ravit, d'une note, une blanche licorne.
Et le beau séraphin éveille la litorne
Sous l’œil émerveillé d'un étrange flâneur.

Et puis à pas de loup, aussi fins qu'une plume,
Il effleure d'un rire un soleil qu'il parfume
De poussière d'étoile et de fleurs de jasmin.

De son aile bleutée, il gagne la futaie
Qu'un vent capricieux, du bout des cils, balaie.
Il s'endort en rêvant et sourit à demain.

Il accueille la pluie, qu'un nuage bleu borne,

Pluie devrait être élidé

Il accueille la pluie, qu'un nuage bleu borne,
Au côté d'une rose et son bouton rêveur.

Il fait quoi le nuage?


Il effleure d'un rire un soleil qu'il parfume

2 fois "un" dans le même vers , cela fait désordre.

Un ange gracieux réfléchit au bonheur
Sous la feuille velue, arrachée à la viorne.
Il accueille la pluie. Un nuage bleu l'orne,
Au côté d'une rose et son bouton rêveur.

C'est au son de sa lyre, à l'exquise douceur,
Qu'il ravit, d'une note, une blanche licorne.
Et le beau séraphin éveille la litorne
Sous l’œil émerveillé d'un étrange flâneur.

Et puis à pas de loup, aussi fins qu'une plume,
Il effleure de rire un soleil qu'il parfume
De poussière d'étoile et de fleurs de jasmin.

De son aile bleutée, il gagne la futaie
Qu'un vent capricieux, du bout des cils, balaie.
Il s'endort en rêvant et sourit à demain.

Tu ne pourras guère faire mieux. Tu peux monter ce texte.

Il n'a pas l'air de te plaire beaucoup, cet ange-là  
Dis-moi ce qui te déplaît, stp.
Belle et douce journée
Je t'embrasse.
Lilas.

J'ai du mal à visualiser tes images poétiques. En outre la lecture de ce texte n'est pas fluide.

Pas fluide? Dis-moi où, s'il-te-plaît  
Belle et douce soirée, Jérôme  
Je t'embrasse.
Lilas

Un ange gracieux réfléchit au bonheur
Sous la feuille velue, arrachée à la viorne.
Il accueille la pluie. Un nuage bleu l'orne,
Au côté d'une rose et son bouton rêveur.

C'est au son de sa lyre, à l'exquise douceur,
Qu'il ravit, d'une note, une blanche licorne.
Et le beau séraphin éveille la litorne
Sous l’œil émerveillé d'un étrange flâneur.

Et puis à pas de loup, aussi fins qu'une plume,
Il effleure de rire un soleil qu'il parfume
De poussière d'étoile et de fleurs de jasmin.

De son aile bleutée, il gagne la futaie
Qu'un vent capricieux, du bout des cils, balaie.
Il s'endort en rêvant et sourit à demain.

J'ai mis en gras tout ce qui me semble difficile à lire ou à visualiser.

Un ange gracieux réfléchit au bonheur,
Sous la feuille velue, arrachée à la viorne.
Il regarde l'azur, cherchant le capricorne,
Au côté d'une rose et son bouton rêveur.

Sa lyre joue un air à l'exquise douceur,
Qui ravit, d'une note, une blanche licorne.
Et le beau séraphin éveille la litorne
Sous l’œil émerveillé d'un étrange flâneur.

Et puis à pas de loup, aussi fin qu'une plume,
Il s'envole en riant au soleil qu'il parfume
De poussière d'étoile et de fleurs de jasmin.

De son aile bleutée, il gagne la futaie
Qu'un vent capricieux, du bout des cils, balaie.
Et s'endort dans un souffle, auréolé bambin.

Il s'envole en riant au soleil qu'il parfume
Parfumer le soleil est une image qui m'échappe.

Et s'endort dans un souffle, auréolé bambin.

La lecture du dernier vers est délicate , certainement du fait des 'l'.

Je te retrouve  ...Avec plaisir  
Je m'y attelle au réveil  
Belle et douce journée,
Je t'embrasse
Lilas

Un ange gracieux réfléchit au bonheur,
Sous la feuille velue, arrachée à la viorne.
Il regarde l'azur, cherchant le capricorne,
Au côté d'une rose et son bouton rêveur.

Sa lyre joue un air à l'exquise douceur,
Qui ravit, d'une note, une blanche licorne.
Et le beau séraphin éveille la litorne
Sous l’œil émerveillé d'un étrange flâneur.

Et puis à pas de loup, aussi lèger qu'une plume,
Il s'envole en riant dans le vent qu'il parfume
De poussière d'étoile et de fleurs de jasmin.

De son aile bleutée, il gagne la futaie
Qu'un vent capricieux, du bout des cils, balaie,
Et s'endort doucement sous le vert baldaquin .

Qui ravit, d'une note, une blanche licorne.

"une " deux fois , cela fait beaucoup. J'ajoute qu'un air comporte généralement plus d'une note.

Et puis à pas de loup, aussi lèger qu'une plume,

Il y a une faute à léger. En outre ce vers comporte 13 syllabes. Pourquoi pas : "et puis à pas de loup, si léger qu'une plume"


Il s'envole en riant dans le vent qu'il parfume

Deux "il".

Un ange gracieux réfléchit au bonheur,
Sous la feuille velue, arrachée à la viorne.
Il regarde l'azur, cherchant le capricorne,
Au côté d'une rose et son bouton rêveur.

Sa lyre joue un air à l'exquise douceur,
qui ravit à l'instant une blanche licorne.
Et le beau séraphin éveille la litorne
Sous l’œil émerveillé d'un étrange flâneur.

Et puis à pas de loup, si léger qu'une plume,
L'ange vole en riant dans le vent qu'il parfume
De poussière d'étoile et de fleurs de jasmin.

De son aile bleutée, il gagne la futaie
Qu'un vent capricieux, du bout des cils, balaie,
Et s'endort doucement sous le vert baldaquin

Etrange, je ne me souvenais pas de ce texte.

Moi aussi...Mais je suis tombée dessus tout à l'heure et j'ai vu que je ne l'avais pas corrigé...
#Honte sur moi...